Homme : Nom masculin pluriel chez Jean Paul Gaultier. Car il n’y a pas un homme Gaultier.
Il y a des hommes, de différents âges,  masculin-féminins, mi-voyous, mi bons gars, canailles ou raffinés, mais toujours à la personnalité affirmée.
A la fois hommes en smoking, vêtus de néoprène, de manteaux de cuir oversized, redingotes flamboyantes, tuniques de mousseline sur costumes racés,
ou encore en marinière… Une allure sexy chic bien dans l’air du temps, qui renverse les classiques avec glamour,  
humour, flamboyance, séduction, sans oublier un zeste de provoc’.
Pour tous ces hommes, Jean Paul Gaultier imagine aujourd’hui un nouveau parfum.
Il appelle les hommes à clamer haut et fort leur virilité, triomphante et exacerbée.
Tout-puissants, énergiques, libres et sauvages, ils lancent à l’unisson un cri de victoire :
 

KOKORICO
 



Un jus jaillissant, Jean Paul Gaultier voulait donc un cri.
Résultat ? Un parfum généreux, sensuel, et pourtant nerveux.
Plein de panache et de surprises, il met « cul par dessus tête » les codes classiques du parfum masculin.
Pourtant, comme toujours, fidèle au respect de la tradition, c’est à la haute parfumerie qu’il emprunte ses matières premières précieuses.
Ces grands classiques sont renversés et ne savent plus où donner de la tête : le cèdre s’éclate, le patchouli sort sa moiteur, le vétiver joue à fond
ses racines comme un écho tribal. Ils exhalent la masculinité.
Mais, il en rajoute, bien sûr et joue les dissonances pour créer un jus plein de gouaille aristo et chic, sexy et résolument élégant.
La fève de cacao, gourmande, brute, aphrodisiaque est traitée paradoxalement en amertume.
Elle joue des apparences et heurte la sensualité et la fraîcheur de la feuille de figuier.
Un chaos explosif et torride harmonisé par les éclats boisés.
Kokorico, un jus viril décomplexé.

 

Un flacon surprise
Un flacon noir, un nom rouge calligraphié, comme une signature, passionnée et élégante…
Un flacon diablement coquin et contemporain, jouant avec la tradition des flacons-sculptures.
Trompe l’œil, double jeu, effet morphing : silhouette sexy d’un corps d’homme de profil, « gueule » pensante de face et vice versa.
La fameuse can, quant à elle, est recyclée en boite à film écarlate glossy, que l’on empile en tours… Glamour, cinématographique et réutilisable.
On ne peut la rater : elle est rouge comme un rideau de cabaret.












 
 



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