INVICTUS


Que se passe-t-il une fois la victoire conquise ?
Quand le défi a été relevé, quand une clameur envahit le stade ?
 
Bien au-delà de leurs performances, les sportifs fédèrent les désirs et les fantasmes.
Avec Invictus, Paco Rabanne ouvre un nouveau chapitre dans la parfumerie masculine en allant à la rencontre d’un nouveau fantasme,
celui de la victoire.

 

Invictus, un nom qui revendique sa latinité et une masculinité musclée. L’invaincu, l’invincible, c’est le héros à qui rien ni personne ne
peut résister.




Il a gagné, il est le meilleur, mais cette saveur de victoire est trop fade, trop connue. Il est dans l’après, dans l’explosion de sensations :
celles d’un succès qui submerge, d’une clameur qui le porte, dans les multiples promesses d’autres victoires, plus sensuelles encore.
Cette victoire ne donne pas seulement des ailes, elle est aphrodisiaque. Mais contrairement à d’autres fils d’Olympe descendus sur Terre,
il a également de l’humour. Son sourire est son arme ultime.
 



Ni eau d’été transparente, ni cologne classique, Invictus est une fragrance extrêmement texturée, avec un relief et un fond très présents.
Une opposition d’univers, de forces, de sensations et de valeurs. Invictus est un boisé frais où le piquant répond au musclé.
 
Une extase, une envolée fraîche, vibrante, vivifiante qui est obtenue grâce à un accord marin, de l’écorce de pamplemousse et de la feuille
de laurier. L’addiction, quant à elle, est créée par l’identité ultra virile et le magnétisme animal d’un accord boisé ambré. Le bois de Gaïac,
l’ambre gris et le patchouli tracent un sillage racé.
 


Pour le flacon, Paco Rabanne détourne une fois de plus un objet : après le briquet et le lingot d’or, la coupe s’est naturellement imposée.
Un trophée qui n’a pas oublié d’être pratique grâce à son ergonomie.
 
Le logo et la typographie sont autant de rappels aux codes intemporels de l’Antiquité retravaillés dans une esthétique contemporaine.
Les ailes de la victoire donnent une puissance et une aura au nom, qui semble gravé dans la pierre. Métalliques et mates tout à la fois,
les tonalités de gris employées renvoient à la statuaire antique.

 
 
Paco Rabanne choisit l’australien Nick Youngquest comme visage d’Invictus. Cet athlète âgé de trente ans a séduit par sa photogénie mais
aussi par l’adéquation de sa personnalité aux valeurs véhiculées par le parfum. Une musculature impressionnante en rupture avec les
standards, un regard d’acier, un sourire tout en promesses, une franchise ravageuse, un peu désinvolte...


 
Signé Alexandre Courtès, réalisateur français de longs métrages, le film publicitaire est avant tout un récit épique et une allégorie de la
victoire. On y suit le parcours du champion dans l’euphorie de la victoire, de l’entrée d’un stade jusqu’aux vestiaires où l’attend une
troisième mi-temps torride. Des apparitions, qui empruntent à la mythologie classique son sens du grandiose, voire de la démesure.
La musique, signée Kanye West, accompagne ce message ultra masculin et renforce la contemporanéité du champion Invictus.






 
 
 



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