Caron imagine le parfum de l’infini
 
En 1912, Caron vient à peine de naître que la jeune maison se lance un défi compliqué : capturer le parfum de l’infini alors que seuls les poètes et les scientifiques parviennent à l’approcher. Cette première création va évoluer avec le temps, comme si Caron redéfinissait l’odeur de l’infini avec l’évolution des découvertes scientifiques. En 1970, Caron imagine un grand bouquet de fleurs à la note poudrée pour le définir. Serge Mansau dessine un flacon sculpture asymétrique et creux en son centre rappelant le signe infini.
 
Un siècle plus tard, la recherche et la science ont franchit de nouvelles étapes pour percer le mystère de l’infini et Caron se soumet de nouveau à l’exercice de le mettre en odeur. William Fraysse, le parfumeur maison l’a imaginé avec insouciance et malice. Cet infini s’envole sur les notes fruitées et pétillantes de la poire et de l’orange parsemées de baies roses qui éveillent les sens. Puis le jasmin suave et charnel s’enveloppe d’une vanille onctueuse et épicée. Alors, un tourbillon de santal, de benjoin et de muscs blancs dessine un sillage chaleureux, lacté et réconfortant.
 
Infini se glisse dans le flacon encrier de Caron épuré et modernisé pour l’occasion. Sa base carrée supporte un flacon arrondi en verre transparent. Une étiquette blanche allongée indique le nom du parfum souligné d’un élégant trait noir. La coiffe noire de forme carrée fait écho à la base du flacon et renoue avec les codes Art Déco de la maison.



 

 



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