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Un nouveau Jour se lève... 
Chez Hermès, chaque femme est un mystère...
Un mystère que l’on peut tenter d’éclairer.
D’une lueur, discrète.
D’une connaissance, patiente. D’un rayon, singulier.
D’une chaleur, protectrice et diffuse.
D’une lumière, enfin.
La lumière éveille et révèle la beauté du monde,
sublime le caractère des choses et des êtres, donne à voir chacun sous son meilleur jour, fait naître les corps et les matières, frémit à nos oreilles, frissonne à nos narines, effleure nos lèvres, chatouille chaque pore de notre peau, nous enchante !
Elle est la vie même !
De cette lumière, de cette éternelle rennaissance, Hermès a fait une essence, Jour d’Hermès.  Mettre en lumière le féminin, garder le mystère de chaque femme ? Qui dit féminin dit fleur, en parfumerie ?
Soit, répond Jean-Claude Ellena, mais alors mille fleurs !
Des brassées, des bouquets, des gerbes, des bosquets, fleurs du jardin, fleurs de salon, fleurs du matin, fleurs du soir, parfums espiègles, odeurs envoûtantes, à profusion ! Et puis, pour aussi nous toucher, à distance, des baumes qui disent la sensualité et la douceur des caresses. Le résultat est là : de l’aube au crépuscule, un fleuri qui fleure, effleure, affleure… 
Comme une graine ancienne donne naissance à des fleurs fraîches,
le carré d’assise du flacon historique Hermès se fait ancrage ; de chaque angle de ce socle monte une ligne tendue. Ces quatre lignes, poussent, s’élèvent, s’épanouissent et viennent se rejoindre en un mouvement fluide. En leur centre, recueillie, contenue : une goutte en suspension dans le vide. L’essentiel de ce que nous attendons du jour : qu’il naisse, qu’il soit dense, qu’il soit rond, qu’il revienne. |
