La Vie est belle, affirme le nouveau parfum Lancôme.

Pas de prétention dans cette déclaration d’une simplicité lumineuse, mais la plus belle des évidences, la plus limpide aussi.
Un parfum porteur de sens, avec une conscience, une âme.  La Vie est belle a la simplicité de la vérité, de la sincérité, comme
la beauté à la française, ce fameux je ne sais quoi de lumière, au-delà de la beauté. La Vie est belle conjugue à la fois la richesse
et la quintessence. Si La Vie est belle, c’est parce qu’on l’a choisi, parce qu’on l’a voulu. Plus qu’un constat, c’est une démarche,
une façon d’aller de l’avant, de choisir ce qu’il y a de mieux pour soi. Une manière d’envisager chaque jour, chaque opportunité
avec sa propre sensibilité. Chacun cherche son propre bonheur et le compose à sa façon. Alors, la vie devient plus belle.

 
Pour lui donner une aura, un irrésistible sillage, une subtile alchimie entre la magie de la science et le talent de trois parfumeurs a été nécessaire.
La colonne vertébrale de la fragrance, l’iris, a été réinventé pour prendre plus d’ampleur. S’exprimant généralement en coeur,
il s’épanouit dans ce parfum de façon inédite, de la première à la dernière note. Pour illuminer et rehausser ce coeur floral, des notes
de jasmin sambac et de fleurs d’oranger de Tunisie ont été ajoutées. De son côté, l’exceptionnelle essence de patchouli d’Indonésie
a été fractionnée pour n’en garder que la quintessence, la fraction la plus pure, afin qu’elle exalte toute sa force, sa puissance et sa profondeur.
Enfin le sourire, la facette sucrée et gourmande, l’éclat inattendu. Comme un sucre filé composé de notes de vanille, de fève tonka,
de praline, de cassis et de poire, il vient enrober ces senteurs raffinées pour leur offrir une innocence toute enfantine.



Et si le bonheur pouvait être capturé dans un flacon ?
En 1949, Armand Petitjean, le fondateur de Lancôme, demande à George Delhomme, son directeur artistique,
de réaliser un flacon symbolisant l’aura des femmes, ce qui leur donne tant d’éclat…
Georges Delhomme dessine la quintessence du bonheur : la grâce d’un sourire comme inscrit dans le cristal.

Ce flacon retrouve, 63 ans plus tard, tout son sens avec La Vie est belle. Il est à l’image d’une femme libre et heureuse. Il aura fallu
plus d’un an pour réussir l’impossible et résoudre la quadrature du cercle : l’empreinte arrondie d’un sourire posé au coeur d’un carré de cristal.
Un an pour dessiner son profil féminin tout en courbes délicates, tailler ses angles facettés, lui donner vie.
Touche ultime de raffinement : un ruban d’organza gris perlé se noue autour de son col comme deux ailes de liberté.

Elle pourrait résumer les femmes, dans toute leur vérité et leur diversité : Julia Roberts a tour à tour incarné toutes les femmes
dans les différents rôles qu’elle a interprétés. Point commun d’un parcours atypique ? La sincérité. L’engagement. La liberté de choix,
le refus d’une carrière toute tracée. Une manière unique d’épouser tous les rôles. Une aura insaisissable, un charme immanent,
un éclat de lumière permanent qui placent d’emblée Julia Roberts au panthéon des véritables stars du cinéma.







 
 



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