L’homme Montblanc Legend est rejoint par sa compagne...
 

Regard frontal, sourire à peine esquissé, elle s’affirme tranquillement sûre d’elle-même,
de ses choix, de sa simplicité pourtant très sophistiquée. Car tout en elle n’est qu’élégance.
 


Aucun accessoire, pas de coiffure compliquée, un maquillage discret, vêtue d’un sobre pull noir :
le narcissisme n’est pas son affaire. Saisie sans apparat par Peter Lindbergh, c’est dans son intimité
même qu’elle apparaît, laissant affleurer sa pudeur et, essentiellement, son étonnant charisme.
 


Une telle femme se pare de signaux invisibles, de silences expressifs, de non-dits subliminaux.
Elle sème des indices à l’adresse de ceux qui les détectent, elle a du goût pour le secret,
aime mieux ce qui se découvre que ce qui se dévoile.
 
Lumineux et intense, il s’ouvre sur un accord de néroli, de poire croquante un peu verte, et d’orange amère.
C’est fruité, tendre et subtil mais pas sucré ni enfantin. En coeur, essence de fleur d’oranger, muguet reconstitué
et jasmin d’Inde, alias grandiflorum, somptueux et pourtant si délicat. Enfin, muscs, vanille et quelques bois blonds
ancrent la fragrance dans une sensualité légèrement poudrée et l’actualité d’un sillage ne s’offrant pas au tout venant.




 
Son flacon reprend le célèbre emblème de marque et celui de la collection 4810 : les six branches d’une étoile.
4810, comme le nombre de mètres auxquels culmine, toujours recouverte de neiges éternelles, la montagne la plus haute
d’Europe. Des bagues de cette collection qui s’empilent les unes sur les autres et forment une colonne de lumière et de féminité.









 
 



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