Une nouvelle égérie incarne le parfum star du couturier visionnaire et joue la métamorphose. La maison a choisi d’écrire un chapitre de l’histoire d’Angel en rupture totale avec les campagnes traditionnelles. Une communication au style sans précédent ouvre la nouvelle ère de la légende Angel.
En 1992, un ovni arrive atterrit dans les parfumeries : Angel. Un parfum qui bouscule les codes et tendances du moment, habillé d’un flacon irréalisable, une étoile à cinq branches que le verre ne peut combler. Ce parfum de déraison initie le genre gustatif en parfumerie et crée la famille olfactive des orientaux gourmands.
Angel nous invite dans un univers onirique et insolite : mêlant de tendres souvenirs sucrés d’enfance à des visions d’espaces infinis. Cette création avant-gardiste nous plonge dans un univers inconnu où la femme est une héroïne glamour fascinante, aux facettes multiples.
19 ans après sa mère, Georgia May Jagger devient le nouveau visage d’Angel. Etoile montante dans le monde de la mode et de la beauté, instantanément reconnaissable à sa moue pulpeuse, elle incarne Angel avec la même force que sa mère, Jerry Hall.
Evoquant les multiples facettes du parfum, cette nouvelle campagne propose un style hors du temps. Sûre de son pouvoir, la femme Angel entre en scène comme une divinité fascinante. Elle joue de ses atouts par une panoplie incessante de métamorphoses à en donner le vertige. Séductrice, ultra-féminine ou provocatrice-ensorceleuse ? Forte et fragile à la fois, elle oscille entre délicatesse et sensualité.
Née de l’explosion d’une étoile dans l’infini bleu du cosmos, une silhouette en mouvement prend forme devant nos yeux. Déterminée, elle marche vers nous, passant à travers vagues et strates, ramenées de son voyage céleste. Ces métamorphoses modèlent sa féminité jusqu’à ce qu’elle se tienne face à nous, triomphante et audacieuse. Encore à moitié napée de ciel bleu, elle porte son étoile fétiche comme un trophée, l’emblème de son addiction.